Pour ceux qui ont des projets d’investissement dans l’automobile, il convient de notifier que des experts avertissent déjà que l’industrie automobile pourrait connaître un plein essor au cours des 10 à 15 prochaines années contrairement au constat fait au cours des 50 dernières années. Ceci, en raison de la tendance actuelle vers les véhicules électriques, l’émergence de la technologie de l’auto-conduite, sans oublier les nouveaux modèles de mobilité personnelle ayant pour repère la technologie. Au regard des prochains changements, le présent article se propose de donner quelques astuces à ceux qui souhaitent investir dans l’automobile pour mieux s’en sortir.
Les principaux facteurs à prendre en compte pour investir dans l’automobile
Le SAAR : « seasonally adjusted annualized rate » (taux annualisé désaisonnalisé) par signification, est une mesure du rythme des ventes de voitures neuves. Il régularise en effet le marché des mobilités.
Les incitations : les « incitatifs » sont les annonces d’offres de financement bon marché que font souvent les constructeurs automobiles. En effet, elles sont financées par ces derniers même. Aussi, les incitations des camionnettes sont coûteuses que celles des autres types de véhicules.
Les ATP : ils signifient « Average Transaction Price » (prix de transaction moyen) et sont nettement déclarés dans les incitations qui, elles, sont parfois exprimées en pourcentage de l’ATP ; ce qui facilite l’établissement des comparaisons du prix global des véhicules d’une année à une autre.
L’essentiel à savoir pour investir sans crainte dans l’automobile
Aussi bien les constructeurs automobiles que leurs fournisseurs, tous ne sont que des valeurs cycliques classiques. Leurs revenus grimpent et reculent avec le niveau des ventes de voitures neuves, qui n’est étroitement axé que sur la confiance des consommateurs. Ainsi, quand l’inquiétude plane sur les consommateurs et les entreprises à propos de leur économie, ils sont obligés de laisser de côté les achats, certes importants, mais qui ne sont absolument pas essentiels. Ainsi, l’investissement dans l’automobile est donc cyclique, car les constructeurs automobiles, malgré qu’ils prédéfinissent les coûts de façon exorbitante (usines, outillage, contrats de travail), se trouvent face à une concurrence féroce qui donne des coups de massue à leurs marges bénéficiaires.
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